Oh toi étoile
dans ton ciel
fragile
tu tisses
tu nous contemples
de ton apparente tranquillité
devant toi défile
les idées que tu appelles
de tes piques
de tes souvenirs
telle une épouse
tu picores
dans nos mains
tu prends nos faiblesses
tu dévores nos tristesses
et tirant sur la toile
dans un dernier éclat
avant le jour tu disparais
mardi 15 septembre 2009
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