vendredi 26 février 2010

La descente au dégoût

Un soir sur une morne décision, empli du venin de ma satisfaction
je décidais d'abandonner ici bas, que j'appellerai là haut
mes ami et tous eux qui mes détestent, pour trouver plus bas
les espoirs perdus dans les ténèbres de ma mémoire.

Dans ces sombres égouts, je tissais des toiles étranges
et faisait du dégoût, un décor agréable à mon goût
de ma bouche ne sortait, que vomis et puanteur
et pourtant, je regardais avec étonnement et plaisir
mon corps se putréfier chaque instant un peu plus.

Aujourd'hui dans la clarté d'un rayon de nuit,
j'admire avec torpeur,
fuir la vie.
Tel un serpent dans mes entrailles
s'insinue,
l'ennuie.

La descente au dégoût

Un soir sur une morne décision, empli du venin de ma satisfaction
je décidais d'abandonner ici bas, que j'appellerai là haut
mes ami et tous eux qui mes détestent, pour trouver plus bas
les espoirs perdus dans les ténèbres de ma mémoire.

Dans ces sombres égouts, je tissais des toiles étranges
et faisait du dégoût, un décor à mon goût
de ma bouche ne sortait, que vomis et puanteur
et pourtant, je regardais avec étonnement et plaisir
mon corps se putréfier chaque instant un peu plus.

Aujourd'hui dans la clarté d'un rayon de nuit,
j'admire avec torpeur,
fuir la vie.
Tel un serpent dans mes entrailles
s'insinue,
l'ennuie.

samedi 20 février 2010

Comme par un temps froid

La journée débutait comme d'habitude dans ma voiture sur ce fichu boulevard qui s'enfonce dans le sol à 5h de l'après midi avec mes idées en écharpe le chauffage à fond il fait froid. Le chronomètre qui me sert d'horloge défile devant moi, mes idées s'enfoncent six pieds sous terre en passant en dessous du ciel.
Ue bouchée de pizza un regard et je rentre sous terre rejoindre mes antennes dans ma coquille. Verre, terre, feu tout éclaire un instant comme la joie avant que de disparaître Notre être est si important qu'il mérite d'être seul pour apparaître.
Le tram déboule cahin-caha dans la brume, les gens sont tous pendu rien ne subsiste, un instant sans respirer l'air des autres ni la sienne cela fait du bien. Les ruelles débaroulent sous mes pieds le tapis roulant n'en finit pas les magasin du Mall défilent devant moi casquettes, baskets, mollets jeanés, ceintures de cuir sur tee-shirt Von Dutch, les cigarettes brûlent les doigts de tous ces gens figés, saladiers, pamplemousses aux avocats qui défilent en cravates noires, chaussures cirées et jeans cloutés se trémoussent ensembles.
"Vous prenez un verre !" je n'avais pas entendu ce qu'il venait de dire. Quel est cet imbécile qui drague comme un paysan en vadrouille ? Moi.
Le petit jour s'ouvre sur ma compagne verdoyante nommée solitude, je replie la couverture je boufferai bien le monde si j'était une vache mais tout autour de moi est blanc dehors la neige fond lamentablement comme moi. Je fais quelques pas en titubant jusqu'à la salle bain couverte de carreaux blanc, toujours le même en face, moi. Rien qui réponde sourie ou crie si fort qu'on se demande, en espérant prouver aux voisins, que l'on vit encore.
Dehors les rues sont vide le dimanche est jour angoissant pour cette cité sans âme. Je me drape dans l'indifférence des autres triste miroir. Il est déjà 17H au loin sonnent les clochers qui annoncent le retour de la semaine couverte de ses hypocrisies, de je t'aimes parce que tu es là, je t'aimerai mieux si tu n'y étais pas.
Good night résonne dans mes oreilles comme le crissement de la chope et le pétillement des bulles sur ma langue, s'est bien la seule chose qu'elle sente et pourtant je me sens si bien dans cette morne tranquillité que je noie chaque soir un peu plus pour oublier que je suis heureux ainsi. Lundi, mardi s'égrènent comme un chapelet mal compris.
Que faire d'un épreuve la fuir comme un bon lâche par faiblesse pour se faire plaindre et réconforter ou foncer et ...
Le ciel de la nuit devient bleu les étoiles brillent si fort que le noir devient gris et moi marron. Je me rappel Noêl et mon anniversaire, ce sont les derniers que je veux vivre ainsi. Les forts n'ont pas le droit d'être faible c'est ainsi chacun à sa place , mais la force sanas amour c'est la h ... Non ce n'est pas possible pourquoi suis seul pour que ça se voit ? .. Ce qu'ils peuvent passer comme conneries la télé !
La bière coule à flot comme moi j'envoie quelque SMS de reproches où je peux puis, la rosace du plafond tourne encore autour des mes sombres idées blanches il fait froid. Le sommier Louis XVI m'entoure de ses bras puissants tandis que mes idées galopent dans de verts pâturages bornés de petits villages irlandais où de belles blondes jouent du violon mieux que Rostro "Ine Guiné bitte", les Pubs allemands du Service Militaire dansent avec ceux de mes cours d'été en Angleterre et le sourires édentés des belles rejetés d'antant crissent dans les passé de mes dents et quelles dents celles qui ont connu les langues douces du passé celles qui espéraient être avec un prince charmant que je n'étais pas et que je ne suis pas encore le serais je seulement dans la trisitesse charmante de ma solitude qui n'enchante que Moi !
Mieux vaut espérer que d'avoir ! L'espoir au moins se partage ! Ici dans ces plaines neigeuse tout est blanc immaculé de nos idées, loin des tâches.
Mes doigts gigotent sur les touches du piano et arrachent de mon âme ces longs sons qui tendent tous mes os sur les longs muscles et les ligaments qui raisonnent depuis mon enfance. La solitude ça se travaille durant toute une vie heure après heure en refusant tout ce qu'on aime pour aimer autre chose que ce soi qu'on déteste tant et que l'on aime tant ... dans le froid.
Comme par un temps froid

La journée débutait comme d'habitude dans ma voiture sur ce fichu boulevard qui s'enfonce dans le sol à 5h de l'après midi avec mes idées en écharpe le chauffage à fond il fait froid. Le chronomètre qui me sert d'horloge défile devant moi mes idées s'enfoncent six pieds sous terre en passant en dessous du ciel
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Ue bouchée de pizza un regard et je rentre sous terre rejoindre mes dans ma coquille. Verre, terre, feu tout éclaire un instant comme la joie avant que de disparaître Notre être est si important qu'il mérite d'être seul pour apparaître.
Le tram déboule cahin-caha dans la brume, les gens sont tous pendu rien ne subsiste, un instant sans respirer l'air des autres ni la sienne cela fait du bien. Les ruelles débaroulent sous mes pieds le tapis roulant n'en finit pas les magasin du Mall défilent devant moi casquettes, baskets, mollets jeanés, ceintures de cuir sur tee-shirt Von Dutch,les cigarettes brûlent les doigts de tous ces gens figés, saladiers, pamplemousses aux avocats qui défilent en cravates noires, chaussures cirées et jeans cloutés se trémoussent ensembles.
"Vous prenez un verre !" je n'avais pas entendu ce qu'il venait de dire. quel est cet imbécile qui drague comme un paysan en vadrouille. Moi.
Le petit jour s'ouvre sur ma compagne verdoyante nommée solitude, je replie la couverture je boufferai bien le monde si j'était une vache mais tout autour de moi est blanc dehors la neige fond lamentablement comme moi. Je fais quelques pas en titubant jusqu'à la salle bain couverte de carreaux blanc, toujours le même en face, moi. Rien qui réponde sourie ou crie si fort qu'on se demande, en espérant prouver aux voisins, que l'on vit encore.
Dehors les rues sont vide le dimanche est jour angoissant pour cette cité sans âme. Je me drape dans l'indifférence des autres triste miroir. Il est déjà 17H au loin sonnent les clochers qui annoncent le retour de la semaine couverte de ses hypocrisies, de je t'aimes parce que tu es là, je t'aimerai mieux si tu n'y étais pas.
Good night résonne dans mes oreilles comme le crissement de la chope et le pétillement des bulles sur ma langue, s'est bien la seule chose qu'elle sente et pourtant je me sens si bien dans cette morne tranquillité que je noie chaque soir un peu plus pour oublier que je suis heureux ainsi. Lundi, mardi s'égrènent comme un chapelet mal compris.
Que faire d'un épreuve la fuie comme un lâche par faiblesse pour se faire plaindre et réconforter ou foncer et ...
Le ciel de la nuit devient bleu les étoiles brillent si fort que le noir devient gris et moi marron. Je me rappel Noêl et mon anniversaire, ce sont les derniers que je veux vivre ainsi. Les forts n'ont pas le droit d'être faible c'est ainsi chacun à sa place , mais la force sanas amour c'est la h ... Non ce n'est pas possible pourquoi suis seul pour que ça se voit ?
La bière coule à flot comme moi j'envoie quelque SMS de reproches où je peux puis, la rosace du plafond tourne encore autour des mes sombres idées blanches il fait froid. Le sommier Louis XVI m'entoure de ses bras puissants tandis que mes idées galopent dans de verts pâturages bornés de petits villages irlandais où de belles blondes jouent du violon mieux que Rostro Ine Guiné, les Pubs allemands du Service dansent avec ceux de mes cours d'été et le sourires édentés des belles rejetés d'antant crissent dans les passé de mes dents et quelles dents celles qui ont connu les langues douces du passé celles qui espéraient être avec un prince charmant que je n'étais pas et que je ne suis pas encore le serai je seulement dans la trisitesse charmante de ma solitude qui n'enchante que Moi !
Mieux vaut espérer que d'avoir ! L'espoir au moins se partage ! Ici dans ces plaines neigeuse tout est blanc immaculé de nos idées, loin des tâches.
Mes doigts gigotent sur les touches du piano et arrachent de mon âme ces longs sons qui tendent tous mes os sur les longs muscles et les ligaments qui raisonnent depuis mon enfance. La solitude ça se travaille durant toute une vie heure après heure en refusant tout ce qu'on aime pour aimer autre chose que ce soi qu'on déteste tant et que l'on aime tant ... dans le froid.