Recontre
magie d'un instant
toi qui régit l'univers
que l'homme ne connaît
tu as pour maitresse une femme
parfaite et c'est pour ça que tu es justice
un instant tu nous ravi
et nous mirant
nous succombons
de ta beauté
nous convoitons
de ta grandeur nous dévorons
comme Chronos
même nos enfants
que nous croyons avoir mis au monde
tandis que le monde
nous est donné
nous abandonnons
notre âme
qui en est le maître
et succombons comme
Narcisse se mirant dans l'eau
nous plongeons dans un abîme
d'admiration du reflet
de notre chance
qui se nome Dieu
dieu a fait l'homme
le diable le miroir
et nous succombons à ses charmes
qui ne lui coûte
que notre reflet
que nous aimons tant
qu'a s'use à le voir et
disparaître
mercredi 1 février 2012
Vibrations
Vibrations, monde ondule
qui de moi ou des autres demeure
dans la raison
qui du besoin, de l'envie
ou du devoir
qui de moi ou des autres demeure
dans la raison
qui du besoin, de l'envie
ou du devoir
1 2 3 4
un deux trois quatre
fumée, bruits de sons
ça sent bon le saumon fumé
le hareng frit le matin
comme un cendrier
de longs grognements
au petit jour
comme au couché
la lune brille
et se couche sur ma poitrine
la lumière fuse et scintille sur l'eau
un frisson
les noires écumes s'envolent
les jours passent
restent les nuits
Le Mal de son regard
attire dans l vide
tout ceux qui se mirent
dans ce miroir maudit
pour briller plus fort
que les étoiles et le soleil
briller encore
et disparaître
brûler éternellement
sans plus jamais paraître
briller de milles nuits
ans les quelles on se mirer
humilité,désire
amitiés, solitude
aimer, haïr
briller, disparaître
nous sommes tous condamnés
à nous tromper pour tromper les autres
et brûler ce qui reste d'espoir
pour voir dans cette nuit noir
l'horrible reflet de notre forfait
seul reste l'éclat sombre et noir
l'éclat d'ébène de notre forfait
qu'il nous reste seul à payer
fumée, bruits de sons
ça sent bon le saumon fumé
le hareng frit le matin
comme un cendrier
de longs grognements
au petit jour
comme au couché
la lune brille
et se couche sur ma poitrine
la lumière fuse et scintille sur l'eau
un frisson
les noires écumes s'envolent
les jours passent
restent les nuits
Le Mal de son regard
attire dans l vide
tout ceux qui se mirent
dans ce miroir maudit
pour briller plus fort
que les étoiles et le soleil
briller encore
et disparaître
brûler éternellement
sans plus jamais paraître
briller de milles nuits
ans les quelles on se mirer
humilité,désire
amitiés, solitude
aimer, haïr
briller, disparaître
nous sommes tous condamnés
à nous tromper pour tromper les autres
et brûler ce qui reste d'espoir
pour voir dans cette nuit noir
l'horrible reflet de notre forfait
seul reste l'éclat sombre et noir
l'éclat d'ébène de notre forfait
qu'il nous reste seul à payer
lumières de la nuit
les lumières de la nuit
sont des larmes
gouttes d'eau
dans l'océan noir de l'oubli
qui se noient dans notre vie
et coulent sur notre langue
se mélangent
jusqu'à notre envie
sont des larmes
gouttes d'eau
dans l'océan noir de l'oubli
qui se noient dans notre vie
et coulent sur notre langue
se mélangent
jusqu'à notre envie
La nuit
Oeil invisible
qui nous regarde
et contemple le monde
que nous créons de nos idées
tu vois ce que nous n'osons penser
tu pense ce que nous n'osons voir
et pourtant nous te voyons
qui nous regarde
et contemple le monde
que nous créons de nos idées
tu vois ce que nous n'osons penser
tu pense ce que nous n'osons voir
et pourtant nous te voyons
mercredi 12 janvier 2011
Le goût des larmes
Le goût des larmes est comme un fruit
qui vous étouffe à chaque gorgée
son goût d'amande enivrant
de lèvres et de paupières fermées
vous dévore
il ruisselle dans votre gorge
goutte dans vos entrailles apportant fraîcheur
souffrances, brûlures et cris muets
il vous aspire la peau vous transperce le corps
vous laisse là, mort sans que personne ne le sache jamais
puis longtemps, longtemps après vient dans un couloir sombre
le souffle du réconfort.
qui vous étouffe à chaque gorgée
son goût d'amande enivrant
de lèvres et de paupières fermées
vous dévore
il ruisselle dans votre gorge
goutte dans vos entrailles apportant fraîcheur
souffrances, brûlures et cris muets
il vous aspire la peau vous transperce le corps
vous laisse là, mort sans que personne ne le sache jamais
puis longtemps, longtemps après vient dans un couloir sombre
le souffle du réconfort.
jeudi 16 décembre 2010
Trouvé
Parmi les fils de mes idées
Au milieu de la réalité
dans le miroir d'argent
la vérité m'a regardé dans les yeux
dans les yeux j'ai détourné son regard
j'ai tordu tous les regards
pour que dans le miens tout soit droit
et de tes mensonges j'ai fait des réalités
qui ont fait mentir ma vérité
pour que tous sois transparents
comme mes idées que je regardais
s'envoler sous les cris
de tes idées
Au milieu de la réalité
dans le miroir d'argent
la vérité m'a regardé dans les yeux
dans les yeux j'ai détourné son regard
j'ai tordu tous les regards
pour que dans le miens tout soit droit
et de tes mensonges j'ai fait des réalités
qui ont fait mentir ma vérité
pour que tous sois transparents
comme mes idées que je regardais
s'envoler sous les cris
de tes idées
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